Décédés des suites de leurs blessures...
Cités comme blessés dans l'article précédent, les officiers suivants sont décédés des suites de celles-ci :
Le Capitaine Louis BEAUFIGEAU (7è Cie), originaire des Deux-Sèvres est décédé à l'hôpital auxiliaire chilien n° 40 à Paris. Il allait avoir 40 ans. Il laissait une veuve. Chevalier de la Légion d'honneur et Croix de guerre. Son nom est inscrit sur le monument aux morts de St Maixent (79).
Le Sous-Lieutenant Alfred JAMES (3è Cie), originaire du Puy de Dôme est décédé à Vadelaincourt (55), où se tenait un hôpital temporaire (HOE n°12) au château Génin. Il avait 36 ans. Son nom est inscrit sur une plaque commémorative au vieux collège de Chatellerault (86). Il était professeur d'EPS.
Quant au Lieutenant Maximilien MERLIN (8è Cie), il fut porté disparu le 8 mars 1916. Originaire de la Nièvre, il avait 30 ans. Il laissait une veuve. Croix de guerre, nommé Capitaine le 15 avril 1916. Son nom figure sur le Monument aux morts de Vincennes (94).
Si seuls ces quelques noms sont repris des différents récits, n'oublions pas tous ceux qui sont tombés lors de cette terrible semaine de mars 1916, pour la défense du fort de Vaux.
Avec l'aide de plusieurs personnes (qui se reconnaîtront), j'ai pu en retrouver plus de 500.
Le fichier comportant les noms de ces soldats sera visible à la fin de ce récit.